P�dophilie
P�dophilie : pressions sur les policiers t�moins pour qu'ils reviennent sur leurs accusations contre Di Rupo

" Notre dossier sur Di Rupo �tait boucl�, proprement. Nous avions interrog� les t�moins policiers vers lesquels vous nous aviez orient�s. Oui, ils ont confirm� � peu pr�s ce qu'ils vous avaient dit. J'y �tais personnellement. Mais ils ont tout reni� ult�rieurement. D'autres policiers ont �t� envoy�s les r�interroger et subitement, ils donn�rent une version contraire. " D�claration d'un policier belge � notre r�daction dans le cadre du t�moignage de deux policiers de Mons (ville dont Elio di Rupo est devenu entre temps le maire) qui avaient surpris � deux reprises l'ex vice-pr�sident du gouvernement belge et actuel patron du PS, dans sa voiture, au lac du Grand Large, avec un gar�on de 12 et un de 13 ans, d�nud�s, dans sa voiture.

Voil� comment la justice belge arrive � r�soudre les affaires d�licates. Si les premi�res auditions (journalistiques) et les deuxi�mes auditions (polici�res) ne conviennent pas, on auditionne tant de fois qu'il faut pour les faire c�der les t�moins compromettants. Sans autre forme de proc�s. Quant aux t�moignages des deux jeunes gar�ons aujourd'hui adultes : ils ont �t� �gar�s. Ils n'existent plus !(L'investigateur 170)


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